 Le coefficient de pénétration aérodynamique (0,38 capote fermée et 0,44 capote ouverte) ne reflète pas la fluidité et le dynamisme équilibré des lignes.Sobriété et efficacité
Le poste de pilotage de la MX-5 rappelle celui des spiders anglais des années 60, décorations en bois en moins : aucun superflu, mais les instruments nécessaires sont bien visibles et les commandes tombent exactement sous la main. La position de conduite, très agréable, permet au pilote de faire corps avec sa machine, d’en ressentir les moindres frémissements. Mais la direction, à assistance variable, le dispense des efforts inutiles, quel que soit son style de conduite. Les petits rétroviseurs extérieurs carénés sont situés au niveau du montant de custode avant, donnant un très bon champ de visibilité arrière.
Une mécanique emballante
Le petit 1600, 4 cylindres, de la "Miata" à bénéficié de l’expérience de Mazda en compétition. Cette mécanique à double ACT a été réglée pour donner tout son potentiel à des régimes élevés, où l’accord des tubulures d’échappement lui donne sa musique caractéristique de "bête sportive". Ce moteur est doté des derniers perfectionnements de la technique : injection multipoint à base L-Jetronic, allumage électronique sans distributeur. De plus, son endurance a fait l’objet de soins attentifs vilebrequin en fer forgé ductile à 8 contrepoids, poussoirs de soupapes hydrauliques, refroidissement des pistons par jets d’huile, pompe à huile trochoïdale haute pression, pompe à eau centrifuge, ventilateur électrique à 5 pales. Il fonctionne à l’essence sans plomb, octane 91 mini.
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